Élizabeth Duboc
Deuxième vice-présidente
Élizabeth Duboc a récemment complété sa maîtrise en sciences de la gestion spécialisée en responsabilité sociale et environnementale à l’UQAM. Elle étudie maintenant l’éducation relative à l’environnement et la gestion des entreprises sociales et collectives.
D’abord administratrice au conseil d’administration (CA) de la Caisse d’économie solidaire, elle a accepté la deuxième vice-présidence. Son désir de s’investir au sein d’une organisation respectée comme la Caisse d’économie solidaire remonte à plusieurs années. Pourquoi ? « En fait, je suis devenue membre de la Caisse solidaire et j’ai voulu m’y impliquer dès que j’ai découvert son existence. J’étais vraiment surprise et heureuse de trouver une institution financière qui partage mes valeurs sociales et environnementales et je me suis dit que ce serait un bel endroit pour travailler plus tard. Je regardais souvent les offres d’emploi et quand j’ai vu l’appel de candidatures pour le conseil d’administration, j’ai sauté sur l’occasion! » – Élizabeth Duboc.
Élizabeth Duboc est aussi administratrice au conseil d’administration de l’UQAM depuis un peu plus de deux ans, membre du comité exécutif et du comité de gouvernance. Elle porte ainsi avec enthousiasme le mandat de protéger les intérêts des 37 000 étudiants et étudiantes de l’UQAM. Auparavant, elle s’était notamment impliquée dans l’élaboration de politiques en matière d’inclusion et de saine gouvernance au sein de différentes associations étudiantes.
Elle tient à être cohérente avec ses valeurs sociales et écologiques.
« Depuis quelques années, je suis devenue végane. Évidemment, ma profonde affection pour les animaux est à l’origine de cette décision, mais les valeurs environnementales qui m’animent ont eu un impact majeur dans ce changement de régime alimentaire. De plus, je m’implique dans de nombreux comités écologiques à l’université. Je fais partie de la Coalition interdisciplinaire pour la transition écologique (CITÉ) qui axe ses interventions sur la sensibilisation des étudiant.e.s et des employé.e.s de l’université. De plus, malgré mon emploi du temps assez chargé, j’essaie aussi de me libérer pour participer à différentes mobilisations à caractère social ».